On a tous vu un ou une collègue, ou on l’a vécu soi-même, venir au travail les traits tirés, l’humeur irritable, la motivation en berne et le mal être grandissant au fil des jours. Aujourd’hui, on ne plus parler de travail sans évoquer le burn out au travail ou la souffrance au travail. Le mot lui-même, bien qu’anglicisme, est d’ailleurs entré dans le vocabulaire courant, ce qui veut tout dire quant à la multiplication du nombre de cas. Apparu la première fois en 1969, le burn out a longtemps été réservé aux employés du domaine de la relation d’aide, très engagés émotivement dans leur travail, comme les infirmières, les médecins, les travailleurs sociaux et les enseignants. Détecter le BURN OUT au travail pour éviter la souffrance Maintenant, on sait que tous les travailleurs – de l’ouvrier au chef d’entreprise -, les hommes et les femmes à égale proportion, peuvent être exposés à ce burn out au travail selon les termes utilisés […]